(...) En avril dernier, nous avions souhaité poursuivre, lors de cette Assemblée de novembre, notre réflexion sur l’accueil des prêtres et des fidèles traditionnalistes dans l’Eglise. L’actualité de ces dernières semaines a donné à ce sujet une tout autre ampleur. Avec la création de l’Institut du Bon Pasteur, le 8 septembre dernier, puis avec l’annonce, dans les médias, d’une libéralisation possible de l’autorisation de célébrer la messe d’avant la réforme conciliaire, une émotion profonde, tant chez les prêtres que chez les laïcs, s’est exprimée dans nos diocèses.