Lors de l’élection de Benoît XVI, vous avez fait paraître un communiqué dans lequel vous parliez d’une « lueur d’espoir ». Qu’entendiez-vous par ces mots ?
Notre espérance repose avant tout sur les promesses de Jésus-Christ. Il est vrai que les choses ne vont pas bien dans l’Église : c’est une tragédie. Mais face à cette situation dramatique, il y a la promesse de Notre Seigneur que « les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre l’Église ». Notre espérance se fonde sur cette certitude et son application concrète.