Monseigneur et Très Révérend Père,
C’est avec tristesse que j’ai lu votre nouvel article paru dans Rivarol du 7 mars dernier sur « La crise actuelle de l’Église ». Je ne pense pas pouvoir vous cacher que je ne suis pas d’accord avec vous sur ce point et que je regrette cette nouvelle prise de position surtout parue dans un journal tel que Rivarol, plus prompt à critiquer qu’à construire.
Il me paraît également pénible que mon Supérieur général prenne des positions, sans doute courageuses, mais qui font souvent passer, aux yeux du public, la Congrégation du Saint-Esprit pour un bastion de l’intégrisme et je souhaiterais pouvoir lire aussi une indication montrant que vos opinions vous sont personnelles et n’engagent pas la Congrégation tout entière.