Vénérables Frères,
Toute l’argumentation de ce chapitre V, au sujet de «la liberté religieuse», repose sur l’affirmation de «la dignité de la personne humaine». Il est dit, en effet, page 4, paragraphe 3 : «Aussi, l’homme qui obéit sincèrement à sa conscience entend obéir à Dieu lui-même, bien que, parfois, confusément et à son insu, et cet homme doit être estimé digne de respect.»