Eminence,
Au moment d'apposer ma signature sur les documents issus des entretiens des 11 et 12 janvier, j'éprouve le sentiment que j'apporte mon concours à une procédure qu'il m'est impossible d'admettre pour les motifs exposés dans mes lettres des 12 et 14 janvier.
J'avais espéré que le désir du Saint-Père de vous confier le problème personnellement vous aurait conduit à éviter une procédure qui me remettait dans les mains de ceux qui m'ont déjà condamné.
C'est pourquoi je remets toutes choses au jugement du Saint-Père.
Veuillez agréer, Eminence, mes sentiments respectueux et dévoués en Notre Seigneur et Notre Dame.