Très Saint-Père,
Si ma réponse à la lettre de Votre Sainteté est tardive, c’est qu’il me répugnait de faire un acte public qui aurait pu faire penser que j’avais la prétention de traiter d’égal à égal vis-à-vis du Successeur de Pierre.
Par contre, je m’empresse, sur les conseils de la Nonciature, d’écrire ces quelques lignes à Votre Sainteté pour lui exprimer mon attachement sans réserve au Saint-Siège et au Vicaire du Christ. Je regrette vivement qu’on ait pu mettre en doute mes sentiments à cet égard et que certaines de mes expressions aient été mal interprétées.