Monseigneur
Je me vois obligé de vous écrire cette lettre pour vous dire l’état d’esprit de la Province de France et des Missions françaises.
Il y a dans la Province et dans les Missions un malaise et une inquiétude qui, depuis un an, continuent à croître et à s’étendre. Les confrères en grand nombre n’ont plus confiance dans leurs supérieurs majeurs : ni dans le Supérieur général, ni dans le Supérieur provincial.