Tout d’abord, il me semble que le temps accordé à l’étude et à l’approbation de ce message n’est pas assez long ; en effet, ce message est du plus haut intérêt.
En second lieu et à mon humble avis, il considère surtout les biens humains et temporels et trop peu les biens spirituels et éternels ; il tient compte surtout du bien de la cité terrestre et trop peu de la Cité céleste vers laquelle nous tendons et pour laquelle nous sommes sur terre. Bien que les hommes attendent de nous, par l’exercice de nos vertus chrétiennes, l’amélioration de leur condition temporelle, combien plus cependant ils désirent, sur cette terre déjà, les biens spirituels et surnaturels.
Il pourrait être parlé davantage de ces biens-ci, puisqu’ils sont les vrais biens, essentiels et éternels, dont nous pouvons et devons jouir dès cette vie sur terre.
En ces biens se trouvent essentiellement la paix et la béatitude.